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1 2 3 4 5 6 7 suivant fin vendredi 6 février 5 06 / 02 / fév 06:00 bienvenue sur mon blog ! bonjour, je m’appelle béatrice. je suis une jeune soubrette ingénue et perverse, dévouée corps et âme à sa maîtresse. voilà maintenant dix ans que je suis à son service. dix ans d’aventures dont je souhaiterais vous faire partager les épisodes les plus marquants en vous racontant mon histoire. une histoire qui aurait pu ne jamais exister s’il ne m’avait pas été donné de rencontrer un jour maîtresse alexandra, la célèbre dominatrice sm qui a illuminé les scènes pari siennes et internationales de toute sa personnalité et de toute son élégance au cours de ces dernières années. avec quelques autres « happy few », j’ai eu l’immense privilège de faire partie de son cercle d’intimes. si je devais résumer le souvenir que je conserve d’elle, je retiendrais trois images : de beauté, d’intelligence et d’humour. de beauté, tout d’abord. une beauté solaire. absolue. celle d’une femme à la fois singulière et plurielle. inoubliable. la grâce et l’élégance élevées à leurs plus hauts niveaux, comme en témoignent les nombreuses photos (180) jointes à ce blog et présentées dans deux albums : • album christophe mourthé ( et autres sources) • album bruno galant d’intelligence, ensuite. une intelligence intuitive, alliée à un sens aigu de l’observation et de l’analyse psychologique, qui lui permettait d’évaluer rapidement son partenaire, de mesurer son degré de motivation, de démêler ses forces et ses faiblesses, de percer à jour ses fantasmes, de le mettre en confiance sans lui donner le sentiment d’être jugé, et de jouer vrai elle-mê me, dans le ton, sans avoir à forcer son talent. une intelligence du cœur aussi, car à la ville comme à la scène, elle était d’une grande générosité, accueillante et attentive aux autres. d’humour, enfin. notre entente était parfaite sur ce point et nous avons fréquemment partagé des moments de fous rires irrépressibles. car l’une comme l’autre, nous prenions un malin plaisir à nous surprendre. il faut reconnaitre qu’alexandra était dotée d’un sens extr aordinaire de l’improvisation. personne mieux qu’elle ne savait habiter complètement son personnage de l’intérieur, recréer une atmosphère, un décor. le rêve prenait alors subitement toute la consistance de la réalité. il n’y avait plus qu’à se laisser guider… c’est ainsi, au fil de nos rencontres, qu’a pris forme le personnage de béatrice. l’histoire de « béatrice » a donc elle aussi une histoire. elle n’a pas été inventée après coup. elle s’appuie au contraire sur tous les petits textes que j’ai pris soin de rédiger avant ou après chacune de mes visites. alexandra s’en inspirait le plus souvent - mais pas toujours - pour développer le scénario de nos jeux. rétrospectivement, il me semble que nos deux imaginaires se complétaient parfaitement. fruit d’une forte complicité et presque écrite à quatre mains, pourrait-on dire, la série braque le projecteur sur le personnage de béatrice, mais à mes yeux, c’est maîtresse alexandra qui en déroule le fil rouge et qui en tient le rôle principal. celle-ci m’a fait l’honneur et le plaisir de publier les premiers épisodes sur son site. prenant le relais à sa suite, il m’a semblé opportun de présenter mon histoire dans un format interactif et accessible au plus grand nombre. l’idée m’est ainsi venue de créer un blog. j’y ai vu le moyen de garder vivant le souvenir de cette femme exceptionnelle qui nous a malheureusement quittés trop tôt, et de lui offrir ainsi un témoignage d’admiration, de respect et de profonde gratitude. dans le prolongement de cette première rencontre, j’ai eu la chance extraordinaire de faire la connaissance de christophe mourthé, le célèbre photographe précurseur de l’école « fétichiste », qui a collaboré avec les plus grands magazi nes (playboy, penthouse, vogue, lui, new look…) et contribué à l’éclosion de bon nombre de jeunes talents (mylène farmer, marlène, laure sinclair, clara morgane, dita von teese, zdenka, dominique la mer, entre autres). je remercie très chaleureusement christophe de m’avoir autorisée à publier sur mon blog les photos et les extraits de films que nous avons tournés ensemble dans son studio avec maîtresse alexandra. afin d'accéder à ces vidéos inédites qui sont diffusées sur youtube, cliquez sur : le corset rouge le corset noir les petits pas une fessée magistrale concrètement, « béatrice ou l’éducation d’une jeune soubrette » se présente sous la forme d’une série de 60 épisodes diffusés mensuellement depuis février 2009. la traduction en anglais des 14 premiers épisodes, effectuée par geoffrey, ancien disciple de maîtresse alexandra, est également disponible à l'adresse suivante : www.missbeatrice.erog.fr voilà, je vous ai à peu près tout dit ! avant de vous plonger dans mon histoire, je vous engage à prendre connaissance du « pitch » dans le résumé et à consulter le sommaire des épisodes. last but not least, afin de bloquer les publicités intempestives et de mauvais goût dont overblog se permet d'accompagner mon blog, comme d'ailleurs tous ceux qui sont hébergés sur sa plateforme, je vous recommande vivement de télécharger sur votre pc un logiciel gratuit, de type adblock . vous pourrez ainsi naviguer sans désagrément. bonne lecture ! plus email lien imprimer par béatrice - publié dans : maîtresse alexandra ecrire un commentaire 0 - voir le commentaire - voir les 0 commentaires vendredi 6 février 5 06 / 02 / fév 22:36 (01) l'entretien d'embauche hall d’entrée de glendale house. les candidates à l’offre d’emploi de domestique, parue la veille dans le times, patientent avant d’être reçues par la maîtresse de maison. josette prend la file et attend son tour en s’agitant d’un pied sur l’autre. la candidate qui la précède revient en sanglotant, son mouchoir à la main. c’est la quinzième de la matinée à ressortir dans cet état. flegmatique mais légèrement moqueur, george, le maître d’hôtel, introduit josette dans le salon et referme la porte derrière elle. lady alexandra est assise tout au fond, l’air sévère. perdue dans un rêve intérieur, sa chienne diva est allongée à ses pieds. la jeune fille reste immobile sur le seuil de la porte, paralysée par la peur. - eh bien approche-toi, je ne vais pas te manger ! [josette comprenant qu’on l’observe, se décide à avancer.] - comment t’appelles-tu ? - josette, maîtresse. - madame, ici, les domestiques m’appellent madame, c’est compris ? - oui, madame. - ma pauvre josette, tes parents ne t’ont pas gâtée ! tu ne vas tout de même pas continuer à porter ce prénom ridicule ! chez moi, tu seras [elle réfléchit]... justine, ou plutôt non, béatrice. oui, c’est ça, béatrice. c’est un prénom qui devrait bien t’aller. il a de l’allure, il respire la bonne éducation et puis il fait aussi un peu garce, comme toi ! - et quel âge as-tu béatrice ? - dix-huit ans et quelques mois, madame. - c’est très bien, j’adore la jeunesse. mes invités aussi. tu as déjà travaillé ? - non, madame, c’est ma première place. - tant mieux, je n’aime pas les mauvaises habitudes ! en te prenant vierge, si j’ose dire, je pourrai te dresser à ma guise ! - je vous promets que j’apprendrai très vite. - c’est ce qu’on verra ! en attendant, tu vas déjà me montrer ce que tu sais faire ! marche jusqu’à la porte ! tu es prête ? - oui, madame. - attends, relève d’abord ta jupe bien haut par-derrière ! - mais, madame ! - tais-toi, petite bécasse ! ici, c’est moi qui commande, je ne te le dirai pas deux fois ! [béatrice obéit et découvre sa culotte en coton blanc qui moule délicieusement ses petites fesses haut perchées.] - maintenant, reviens vers moi en relevant ta jupe par-devant. [béatrice s’exécute, en exposant le haut de ses cuisses et le renflement de son pubis à travers le tissu.] - tu as de jolies jambes et de fines attaches. dis-moi béatrice, tu as de la famille ? - de la famille éloignée, madame, j’ai perdu mes parents quand j’étais petite. c’est ma tante antoinette qui m’a recueillie. - c’est parfait, [mais mesu